mercredi 3 octobre 2007

Socrates, Brown, Zapatero...

Ils sont tous les trois socialistes. Chacun d’entre eux est le chef de son parti et le leader du gouvernement de son pays: Portugal, Espagne et Grande-Bretagne.

A part cela, ils ont plusieurs autres points communs. Ils ont travaillé à l’ombre de personnalités éminentes de leur parti comme le sont respectivement : Guttierres, Gonzales et Blair. Tous trois ont été propulsés sur le devant de la scène à la suite d’échecs ou de baisse de popularité de leur parti. Ils sont connus pour n’avoir aucun charisme, aucune prédisposition au rôle de premier plan qu’ils occupent en ce moment. Ils ont tous été raillés aux débuts de leurs carrières et promis aux seuls rôles subalternes.

Aujourd'hui, ils incarnent le renouveau de l'action de gauche. Ils affrontent tous les trois des échéances électorales en 2008 pour lesquelles ils sont donnés favoris par tous les sondages.







3 commentaires:

maroc-eco a dit…

Je ne crois pas qu'ils ai autant de similitudes,le socialisme anglais est assez éloigné de ces confrères européens, il est certes qu'ils sont arrivés au pouvoir après l'échec de leurs prédécesseur mais ceci ne veux pas dire qu'ils ont une même idéologie, je crois que le plus socialiste des trois peux être socrates, brown vu ce qu'il a fait au ministère de l'économie en grande bretagne je le classerai dans la case libéral ou de centre plutôt que de gauche, et être libéral en grande Bretagne est synonyme de socialiste, cependant, Zapatero lui est assez socialiste dans l'âme mais malheureusement il n'as pas le carisme suffisant pour imposer ces idées a son parti, récemment, il a commencer a lancer des projets a vocation social tout azimut, des chaques bébé de 2500€ pour chaque nouveau né, des aides à la location pour les jeunes de plus de 6000€, une baisse d'impôts de plus de 8% et j'en passe, tout ça pour s'assurer son réélection en mars 2008.
vouloir appliquer ce mouvement de renouveau au Maroc est pratiquement impossible, la jeunesse socialiste n'est pas préparé, les anciens du parti ne sont pas prêt a laisser leurs places,en plus de la structure interne du parti qui n'encourage pas vraiment les jeunes a viser grand.

Anonyme a dit…

Espère-t-on un socialo "du fond de la jarre" pour mener notre USFP?

Mohamed El Kortbi a dit…

désolé, c'est mon dernier commentaire sur ton blog
L'USFP ne peut pas améliorer son score tant que quelques personnes de l'équipe actuelle s'emparent de la décision a sein du parti.